Cellula phantastica est une série qui prend racine en Inde. Elle opère un basculement vers l’abstraction, en se
réfèrant à la topologie médiévale, sorte de chambre cérébrale dans laquelle les données
sensorielles sont transformées en visions lumineuses « visual spirits ». La source des
rêves et le siège de l’imagination : la cellule fantastique. Imaginée lors d’une résidence de
recherches en 2007 à Pondichery, la sculpture Cellula phantastica prolifère de
détails, activant formellement des plans de lieux de croyances hindoues, mixées aux
matériaux de construction domestiques environnants. Du passé au présent, tour à tour sa
récupération poétique enchante et répugne, foisonnant de détails. Un ensemble de
dessins et sculptures découlent de cette résidence.
Cette série a vu le jour après la série Matière grise (2003-2006), issue de l’imagerie
scientifique et ses localisations variées. Des visions aux crises d’hallucinations, en
passant par la dégénérescence des cellules entraînant la perte de mémoire, autour de
dessins d’Aloïs Alzheimer, sa recherche menée à la Faculté de médecine l’a conduit à son
arrière grand-père Emilien Benoist, qui soutenait sa thèse sur la synesthésie en 1906.
réfèrant à la topologie médiévale, sorte de chambre cérébrale dans laquelle les données
sensorielles sont transformées en visions lumineuses « visual spirits ». La source des
rêves et le siège de l’imagination : la cellule fantastique. Imaginée lors d’une résidence de
recherches en 2007 à Pondichery, la sculpture Cellula phantastica prolifère de
détails, activant formellement des plans de lieux de croyances hindoues, mixées aux
matériaux de construction domestiques environnants. Du passé au présent, tour à tour sa
récupération poétique enchante et répugne, foisonnant de détails. Un ensemble de
dessins et sculptures découlent de cette résidence.
Cette série a vu le jour après la série Matière grise (2003-2006), issue de l’imagerie
scientifique et ses localisations variées. Des visions aux crises d’hallucinations, en
passant par la dégénérescence des cellules entraînant la perte de mémoire, autour de
dessins d’Aloïs Alzheimer, sa recherche menée à la Faculté de médecine l’a conduit à son
arrière grand-père Emilien Benoist, qui soutenait sa thèse sur la synesthésie en 1906.