Cellula phantastica est une série qui prend racine en Inde. Elle opère un basculement vers l’abstraction, en se
réfèrant à la topologie médiévale, sorte de chambre cérébrale dans laquelle les données
sensorielles sont transformées en visions lumineuses « visual spirits ». La source des
rêves et le siège de l’imagination : la cellule fantastique. Imaginée lors d’une résidence de
recherches en 2007 à Pondichery, la sculpture Cellula phantastica prolifère de
détails, activant formellement des plans de lieux de croyances hindoues, mixées aux
matériaux de construction domestiques environnants. Du passé au présent, tour à tour sa
récupération poétique enchante et répugne, foisonnant de détails. Un ensemble de
dessins et sculptures découlent de cette résidence.
Cette série a vu le jour après la série Matière grise (2003-2006), issue de l’imagerie
scientifique et ses localisations variées. Des visions aux crises d’hallucinations, en
passant par la dégénérescence des cellules entraînant la perte de mémoire, autour de
dessins d’Aloïs Alzheimer, sa recherche menée à la Faculté de médecine l’a conduit à son
arrière grand-père Emilien Benoist, qui soutenait sa thèse sur la synesthésie en 1906.
Cellula phantastica. 460 x 196 x 170 cm. 2007. Noyer non traité, microbilles de polystyrène, polyfoam et acrylique
Cellula phantastica. 460 x 196 x 170 cm. 2007. Noyer non traité, microbilles de polystyrène, polyfoam et acrylique
Cellula phantastica. 460 x 196 x 170 cm. 2007. Noyer non traité, microbilles de polystyrène, polyfoam et acrylique
Cellula phantastica. 460 x 196 x 170 cm. 2007. Noyer non traité, microbilles de polystyrène, polyfoam et acrylique
Prima matiera. 450 x 225 x 35 cm. Microblles de polytyrène, acrylique, résine acrylique et contreplaqué. Vue du Point Ephémère à Pari
Prima matiera. 450 x 225 x 35 cm. Microblles de polytyrène, acrylique, résine acrylique et contreplaqué. Vue du Point Ephémère à Pari
Détail de Matière fantasmatique (d'après Ingres). 2008. Installation réalisée dans le cadre de l'exposition Ingres et les Modernes au Musée Ingres à Montauban. Curator Dimitri Salmon
Détail de Matière fantasmatique (d'après Ingres). 2008. Installation réalisée dans le cadre de l'exposition Ingres et les Modernes au Musée Ingres à Montauban. Curator Dimitri Salmon
Vue de l'exposition Ingres et les Modernes au Musée Ingres de Montauban. Commissariat : Dimitri Salmon
Vue de l'exposition Ingres et les Modernes au Musée Ingres de Montauban. Commissariat : Dimitri Salmon
Matière fantasmatique. 2008. 76 x 82 x 13 cm et 48 x 72 x 155 cm. Techniques mixtes. Commissariat : Dimitri Salmon
Matière fantasmatique. 2008. 76 x 82 x 13 cm et 48 x 72 x 155 cm. Techniques mixtes. Commissariat : Dimitri Salmon
Matière vive, 2008. 260 x 156 x 42 cm. Vue de l'exposition On ne voit pas le temps passer à l'Eglise Saint Maur. Curatrice Viviane Zenner
Matière vive, 2008. 260 x 156 x 42 cm. Vue de l'exposition On ne voit pas le temps passer à l'Eglise Saint Maur. Curatrice Viviane Zenner
Détail de Polarity Garden. 210 x 175 x 35 cm. 2006. Co-réalisée par Emilie Benoist et Julien Sirjacq. Plantes, terre, sable, ciment, sciure, enduit, polystyrène, pltre, roches, béton, brique, fibres de résine, plexiglas, acier inoxydable et fer
Détail de Polarity Garden. 210 x 175 x 35 cm. 2006. Co-réalisée par Emilie Benoist et Julien Sirjacq. Plantes, terre, sable, ciment, sciure, enduit, polystyrène, pltre, roches, béton, brique, fibres de résine, plexiglas, acier inoxydable et fer
Détail de Polarity Garden. 210 x 175 x 35 cm. 2006. Co-réalisée par Emilie Benoist et Julien Sirjacq. Plantes, terre, sable, ciment, sciure, enduit, polystyrène, pltre, roches, béton, brique, fibres de résine, plexiglas, acier inoxydable et fer
Détail de Polarity Garden. 210 x 175 x 35 cm. 2006. Co-réalisée par Emilie Benoist et Julien Sirjacq. Plantes, terre, sable, ciment, sciure, enduit, polystyrène, pltre, roches, béton, brique, fibres de résine, plexiglas, acier inoxydable et fer
Polarity Garden. 210 x 175 x 35 cm. 2006. Installation co-réalisée par Emilie Benoist et Julien Sirjacq et présentée dans l'exposition Blocs au Point Ephémère
Polarity Garden. 210 x 175 x 35 cm. 2006. Installation co-réalisée par Emilie Benoist et Julien Sirjacq et présentée dans l'exposition Blocs au Point Ephémère
Détail de Matière vive. 2007. 65 x 50 x 35 cm. Microbilles de polystyrène, polyester et vinyle
Détail de Matière vive. 2007. 65 x 50 x 35 cm. Microbilles de polystyrène, polyester et vinyle
Matière vive. 2007. 65 x 50 x 35 cm. Microbilles de polystyrène, polyester et vinyle
Matière vive. 2007. 65 x 50 x 35 cm. Microbilles de polystyrène, polyester et vinyle
Série Sous la surface. 2007. 50 x 65 cm. Graphite, encre scolaire indienne et aquarelle sur papier Vinci
Série Sous la surface. 2007. 50 x 65 cm. Graphite, encre scolaire indienne et aquarelle sur papier Vinci
Back to Top